Commission énergie du Parti communiste français

Commission énergie du Parti communiste français
Accueil

Lettre Communisme & Ecologie N°11

le 26 novembre 2009

Contre-sommet de Copenhague

le 26 novembre 2009

Du 11 au 13 décembre, une délégation du PCF se rendra à Copenhague pour participer aux initiatives du contre-sommet.

La tenue du som-met de Copen-hague pourraitconstituer un évé-nement planétairemajeur puisque le texte qui en sortira remplacera le protocole de Kyoto. Un traité que les États-Unis n'avaient pas ratifié et qui est jugé aujourd'hui insuffisant et pas assez contraignant. Or, selon le Groupe d'experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat, « si rien n'est fait, le réchauffement climatique pourrait atteindre 4°C à la fin du siècle, alors qu'il est impératif de le limiter à moins de 2°C ». Un constat qui fait consensus. Chacun semble prendre la mesure des dangers inhérents au réchauffement climatique désertification, inondations, famines, migrations... Mais personne, en particulier les pays les plus pollueurs, ne semble en tirer les conséquences pour son propre mode de développement. Les États-Unis et le Japon proposent pour 2020 des objectifs bien en deçà de ce qu'il faudrait. L'Union européenne semble un peu plus ambitieuse mais ne s'impliquera pas sans l'engagement des principaux pays pollueurs. Sarkozy s'agite beaucoup mais propose de renvoyer le problème à 2050. Quant aux pays émergents, ils invitent les pays industrialisés à montrer l'exemple. Chacun renvoyant la balle aux autres, Copenhague risque d'accoucher d'une souris. C'est pourquoi, pour de nombreuses organisations – dont le PCF –, il est urgent que les peuples s'en mêlent et exigent de la part de chaque Etat des engagements réels en matière de réduction des gaz à effet de serre et par voie de conséquence de développement. C'est le sens des actions qui se mènent partout dans le monde et qui convergeront dans la capitale danoise à l'occasion d'un contre-sommet dont la manifestation du 12 décembre constituera l'un des temps forts. Une délégation du Parti communiste français (1) conduite par Pierre Laurent (coordinateur national) et Hervé Bramy (responsable du collectif écologie) se rendra à Copenhague du 11 au 13 décembre afin de participer aux différentes initiatives dont une rencontre importante initiée par le PGE. Cette délégation sera porteuse de propositions précises, dont celle de « considérer les ressources naturelles comme biens communs de l'humanité et non comme une marchandise source de profit ». Ce qui, pour le PCF, implique de stopper les directives européennes de libéralisation visant à soumettre l'énergie aux exigences des marchés financiers. Elle défendra aussi le « droit à l'énergie pour tous », avec comme corollaire la mise en œuvre d'un vaste plan de recherche sur les énergies non émettrices de gaz à effet de serre. Elle proposera enfin « la création d'une Agence mondiale de l'environnement » afin de rendre cohérent le développement durable de la planète en matière sociale et environnementale. Autant de mesures qui, pour le PCF, appellent à un dépassement du système productiviste capitaliste actuel.

(1) Outre Pierre Laurent et Hervé Bramy, la délégation sera composée de Christine Mendelsohn, Aurore Fernandez et Sébastien Braque.

Le PCF au contre-sommet de Copenhague

le 18 novembre 2009

A l'appel de nombreuses associations, syndicats, mouvements pacifistes et partis politiques, une manifestation se tiendra samedi 12 décembre à mi-parcours des pourparlers sur le climat de la CCNUCC (Convention- cadre des Nations unies sur les changements climatiques). Cette initiative vise à exiger des dirigeants du monde réunis à Copenhague qu'ils prennent les mesures qu'imposent les défis liés aux changements climatiques. Une délégation de militants et d'élus du PCF se rendra à Copenhague du 11 au 13 décembre pour participer à la manifestation et aux initiatives prévues dans le cadre du contre-sommet, dont une rencontre du PGE, le samedi. Elle sera conduite par Pierre Laurent (coordinateur national) et Hervé Bramy (responsable aux questions de l'environnement à la direction du PCF).

Copenhague 2009, l'urgence climatique !

le 06 novembre 2009

La négociation engagée au sein de l'ONU s'achèvera en décembre à Copenhague et doit déboucher sur des engagements contraignants pour une réduction des gaz à effets de serre. Le texte adopté remplacera le protocole de Kyoto aux résultats décevants et non ratifié par les Etats-Unis.

Comment penser la vie des hommes et des femmes sur une planète dont les ressources naturelles sont devenues si rares qu'il faut que les populations se battent pour y accéder ? Pour le PCF, justice sociale et environnementale ont partie liée. Une délégation du PCF participera à la conférence de Copenhague. Un tract est disponible pour téléchargement.

Sommaire Les effets dévastateurs du (...) Les défis de Copenhague Que proposent les communistes Les effets dévastateurs du réchauffement

Selon le Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), le réchauffement pourrait atteindre jusqu'à 4° à la fin du siècle. Les principaux pays pollueurs doivent impérativement réduire leurs émissions de 25 à 40% d'ici 2020 pour contenir le réchauffement à moins de 2° en moyenne. Et, donc, ralentir ses effets négatifs : désertification, famine, épidémies, inondations, migrations de populations...

Le Forum Humanitaire Mondial chiffre l'impact du réchauffement à 300 000 décès par an et selon l'Observatoire International pour les Migrations le nombre de « migrants environnementaux » atteindra 200 millions d'ici à 2050.

Les défis de Copenhague

Pour 2050, il faut diviser par 4 les émissions des pays industrialisés et par 2 celles de l'ensemble du monde. Bien que désireux de limiter le réchauffement climatique à 2°, Etats-Unis et Japon proposent des objectifs pour 2020 bien insuffisants. L'Union européenne est un peu plus ambitieuse mais ne s'engagera pas sans l'appui des principaux pays pollueurs. Les pays en développement invitent les pays industrialisés à montrer l'exemple.

Cette situation d'urgence amène les pays émergents et en développement à insister sur la responsabilité des pays industrialisés. L'opinion publique et le mouvement social doivent eux aussi prendre en compte ces enjeux environnementaux pour exiger de la part de chaque État des engagements en matière de réduction des gaz à effets de serre.

Le PCF exige à ce sujet de la France et de l'Union européenne des propositions précises et chiffrées.

Que proposent les communistes ?

Il faut remettre en cause le capitalisme qui impose des fonctionnements économiques néfastes pour l'environnement. Les communistes souhaitent que les ressources naturelles soient considérées comme biens communs de l'humanité et non comme marchandises et sources de profits.

L'urgence est au développement de toutes les énergies non productrices de gaz à effets de serre. Pour autant, le droit à l'énergie doit être garanti à tous. A court moyen terme le nucléaire est incontournable. Le PCF se prononce pour un vaste plan de développement des énergies renouvelables. La recherche fondamentale et appliquée doit prendre prendre un nouvel essor car ces sources d'énergies sont complémentaires. La production d'électricité doit être développée et organisée dans le secteur public qui assurera une véritable sureté et transparence avec de nouveaux droits de regards et d'intervention des salariés, des citoyens et des élus. Cela s'accompagne de moyens pour l'émergence d'une 4ème génération de centrales nucléaires, plus sures, plus économes et moins productrices de déchets.

Il est impératif de stopper les directives européennes de libéralisation qui visent à soumettre l'énergie aux exigences des marchés financiers. Une mobilisation financière conséquente est indispensable pour développer les transports en commun de service public et les transports propres (rail, fluvial), l'isolation des bâtiments, la voiture de l'après pétrole… Le PCF refuse tout nouvel impôt qui, telle la taxe carbone, viserait de façon injuste, inefficace et inégalitaire les ménages. Il suffirait d'imposer les super-profits des groupes pétroliers comme Total, la spéculation financière et de réduire les dépenses nucléaires militaires.

A l'échelle du monde, un nouveau mode économique et financier est nécessaire pour accompagner les pays les plus pauvres dans une démarche de coopération et de développement. A cette fin, les communistes proposent la création d'une Agence Mondiale de l'Environnement qui rendrait cohérent le développement durable de la planète en matière sociale et environnementale.

Il y a urgence à ce que chacune et chacun s'empare de ces enjeux. Les communistes sont disponibles pour ouvrir des espaces publics de débat, de confrontation, de rassemblement et de luttes, dans le respect des opinions des uns de des autres.

Tract Copenhague 2009

le 06 novembre 2009

Tract Copenhague 2009

La négociation engagée au sein de l'ONU s'achèvera en décembre à Copenhague et doit déboucher sur des engagements concrets pour une réduction des gaz à effets de serre. Le texte adopté remplacera le protocole de Kyoto aux résultats décevants et non ratifié par les Etats-Unis. Comment penser la vie des hommes et des femmes sur une planète dont les ressources naturelles sont devenues si rares qu'il faut que les populations se battent pour y accéder ? Pour le PCF, justice sociale et environnementale ont partie liée. Une délégation du PCF participera à la conférence de Copenhague.

Le congrès du PGE à Paris ?

le 04 novembre 2009

Réuni à Genève du 23 au 25 octobre, le Bureau exécutif du Parti de la gauche européenne a pris de premières dispositions pour préparer le 3e Congrès, qui devrait avoir lieu dans la première semaine de décembre 2010. Les représentants du PCF ont proposé qu'il se tienne à Paris. Cette proposition va maintenant être examinée à partir d'un « cahier des charges » à établir.

Ce congrès va devoir se saisir de questions proprement vitales pour le PGE comme pour toutes les forces progressistes européennes. Les réponses du capitalisme à sa crise ne font que l'aggraver ; les décisions de l'Union européenne, qui va être régie par le traité de Lisbonne, heurtent violemment les intérêts de ses peuples ; le besoin de résister et de construire des alternatives est donc plus urgent que jamais ; or, comme les élections européennes l'ont montré, les forces de la gauche transformatrice sont en difficulté. Pourquoi ? Et comment reprendre l'offensive ? Le congrès du PGE doit être l'occasion de demander l'apport de ses partis membres et de leurs militants pour affiner ses analyses et ses propositions, pour effectuer une évaluation précise de son travail, pour mener des actions communes. Plusieurs collectifs de préparation vont être mis en place et un tout premier point sera fait début janvier 2010 lors d'une réunion du Conseil des présidents à Berlin.

Une grande manifestation aura lieu le 12 décembre.

Dans la prochaine période, la principale étape de mobilisation à l'échelle européenne va être la tenue du Sommet de Copenhague, accompagné d'un Forum sur la crise climatique ouvert à tous les citoyens. Une grande manifestation, au sein de laquelle les militants des partis membres du PGE défileront ensemble, aura lieu le 12 décembre. Le Bureau a adopté plusieurs documents, dont une base de travail du groupe « économie » sur la crise financière et sociale. Ce texte d'étape doit maintenant permettre de formuler des analyses et des propositions plus complètes. Plusieurs partis ont donné une information sur leur situation et celle de leur pays. Ainsi, Refondation communiste d'Italie, soutenu par le Parti des communistes italiens (PdCI), a exposé sa proposition d'une « fédération de la gauche » ouverte à toutes les forces communistes, socialistes, syndicales s'accordant sur un projet de résistance à Berlusconi et d'alternative au néolibéralisme. Le Parti des communistes de la République de Moldavie a expliqué comment, bien qu'il ait obtenu 44 % des voix aux élections législatives de juillet, il est aujourd'hui dans l'opposition à une coalition de droite qui remet en cause les droits sociaux et démocratiques, ce qui a conduit à une résolution du Bureau exécutif. Il a été décidé de proposer l'adhésion au PGE de cinq partis : le Parti communiste de Biélorussie, le Parti Chypre nouvelle (turcophone), le Parti communiste et l'Alliance de gauche de Finlande et le Parti ouvrier hongrois (Munkaspart 2006).

Enfin, cette réunion à Genève a été l'occasion d'une réunion de travail et d'une rencontre conviviale avec les militantes et militants du Parti suisse du travail.

Le congrès du PGE à Paris ?

le 04 novembre 2009

Réuni à Genève du 23 au 25 octobre, le Bureau exécutif du Parti de la gauche européenne a pris de premières dispositions pour préparer le 3e Congrès, qui devrait avoir lieu dans la première semaine de décembre 2010. Les représentants du PCF ont proposé qu'il se tienne à Paris. Cette proposition va maintenant être examinée à partir d'un « cahier des charges » à établir.

Ce congrès va devoir se saisir de questions proprement vitales pour le PGE comme pour toutes les forces progressistes européennes. Les réponses du capitalisme à sa crise ne font que l'aggraver ; les décisions de l'Union européenne, qui va être régie par le traité de Lisbonne, heurtent violemment les intérêts de ses peuples ; le besoin de résister et de construire des alternatives est donc plus urgent que jamais ; or, comme les élections européennes l'ont montré, les forces de la gauche transformatrice sont en difficulté. Pourquoi ? Et comment reprendre l'offensive ? Le congrès du PGE doit être l'occasion de demander l'apport de ses partis membres et de leurs militants pour affiner ses analyses et ses propositions, pour effectuer une évaluation précise de son travail, pour mener des actions communes. Plusieurs collectifs de préparation vont être mis en place et un tout premier point sera fait début janvier 2010 lors d'une réunion du Conseil des présidents à Berlin.

Une grande manifestation aura lieu le 12 décembre.

Dans la prochaine période, la principale étape de mobilisation à l'échelle européenne va être la tenue du Sommet de Copenhague, accompagné d'un Forum sur la crise climatique ouvert à tous les citoyens. Une grande manifestation, au sein de laquelle les militants des partis membres du PGE défileront ensemble, aura lieu le 12 décembre. Le Bureau a adopté plusieurs documents, dont une base de travail du groupe « économie » sur la crise financière et sociale. Ce texte d'étape doit maintenant permettre de formuler des analyses et des propositions plus complètes. Plusieurs partis ont donné une information sur leur situation et celle de leur pays. Ainsi, Refondation communiste d'Italie, soutenu par le Parti des communistes italiens (PdCI), a exposé sa proposition d'une « fédération de la gauche » ouverte à toutes les forces communistes, socialistes, syndicales s'accordant sur un projet de résistance à Berlusconi et d'alternative au néolibéralisme. Le Parti des communistes de la République de Moldavie a expliqué comment, bien qu'il ait obtenu 44 % des voix aux élections législatives de juillet, il est aujourd'hui dans l'opposition à une coalition de droite qui remet en cause les droits sociaux et démocratiques, ce qui a conduit à une résolution du Bureau exécutif. Il a été décidé de proposer l'adhésion au PGE de cinq partis : le Parti communiste de Biélorussie, le Parti Chypre nouvelle (turcophone), le Parti communiste et l'Alliance de gauche de Finlande et le Parti ouvrier hongrois (Munkaspart 2006).

Enfin, cette réunion à Genève a été l'occasion d'une réunion de travail et d'une rencontre conviviale avec les militantes et militants du Parti suisse du travail.

Taxer ou réorienter

le 02 novembre 2009

taxer ou réorienter Souvent, le mouvement progressiste, confronté à un problème, a le sentiment de pouvoir le régler grâce à une taxe.

La démarche a souvent son utilité. Il serait ainsi fort efficace pour la Sécurité sociale de mettre les revenus financiers à contri­bution dans la même proportion que les salaires.

Il est une taxe qui ne manque pas d'inté­rêt, qui revient sur le devant de la scène, mais portée par des acteurs inattendus, c'est la taxe Tobin. L'idée de James Tobin, prix Nobel d'économie en 1981, de taxer les opérations de change afin de dis­suader la spéculation, a connu un certain engouement. Aujourd'hui, on se presse au guichet. Le dernier G20 a demandé au FMI de préparer un rapport afin de l'infor­mer « des différents choix nationaux » envisagés quant « à la façon dont le sec­teur financier pourrait apporter une contri­bution juste et importante » au rétablisse­ment du secteur bancaire.

En Allemagne, la CDU et le SPD se sont disputé la palme du plus chaud partisan de la taxe Tobin. Au Royaume-Uni, le prési­dent de la Financial Services Authority, l'organisme superviseur des banques bri­tanniques, Adair Turner, s'est aussi pro­noncé en ce sens. Le Premier ministre, George Brown, a affirmé qu'une telle taxe « vaut le coup d'être examinée. ». Même le président de la Commission euro­péenne, l'ultralibéral José Manuel Barroso, a trouvé que « ce serait une excellente idée ». Il y a là de quoi perdre son latin. Sauf à considérer que tout ce beau monde nous la chante d'autant plus volontiers qu'il sait que l'on n'en est pas encore à écrire la partition.

Notre ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, lui, la joue d'ailleurs moderato, il explique que cette taxe ne devrait être que de 0,005 %, rapportant seulement à l'échelle de la planète quel­que 20 milliards d'euros. Tobin proposait, lui, qu'elle soit de 0,1 %, voire de 0,25 %.

Cette instrumentalisation de la taxe Tobin devrait nous inciter à réfléchir aux limites mêmes des taxes. N'a-t-on pas trop ten­dance à croire qu'en mettant un barrage en aval des opérations financières, on va pou­voir les limiter ? En fait, on s'en prend aux marges du système au lieu de l'atta­quer en son cœur. Il est plus efficace de réorienter en amont les flux de l'argent que de seulement les contrôler et les taxer.

Comment s'y prendre ? En instaurant un principe de sélectivité, en faisant le tri à la source, par exemple en orientant l'argent des banques vers des financements d'in­vestissements créateurs d'emplois, en imposant d'autres critères d'utilisation des ressources des entreprises, en supprimant les exonérations visant à baisser le coût du travail et en utilisant l'argent ainsi écono­misé de façon à ce qu'il aide à réduire les coûts en capital et les prélèvements financiers.

Évidemment, c'est plus compliqué parce que cela suppose de donner des pouvoirs nouveaux aux salariés. Sans eux, point de salut, leur concours est indispensable pour réorienter les flux de l'argent

Les ateliers du projet : Paris

le 17 octobre 2009

www.lesateliersdelagauche.fr

http://www.dailymotion.com/swf/xau6...

Les « Ateliers-forums du projet », jeudi 15 octobre à Orléans et Paris

le 15 octobre 2009

Les « Atelier-Forums du projet », organisés par le Front de Gauche ont pour ambition de répondre aux exigences populaires du moment face à la crise et de définir les grands axes d'une alternative politique et les mesures d'urgence en rupture avec les logiques du capitalisme et les modèles productivistes. Après Marseille, Grenoble et Toulouse, des tables rondes auront lieu à Orléans et Paris, en présence de nombreuses personnalités du monde politique et syndical.

« Services publics et rôle de l'État » à Orléans-la-Source.

20h00 : Quelles initiatives pour reconquérir les services publics ?

Bernard Defaix, responsable de Convergence des services publics. Alain Delecolle, secrétaire fédéral CGT des activités postales Michel Ricoud, conseiller général PCF Maurice Chauvet, Animateur observatoire des services publics En présence de, Danièle Lebail - Parti communiste français Michel Vauzelle - Parti socialiste Jacques Généreux - Parti de Gauche Pierre Kerdraon - République et socialisme Michelle Ernis - Gauche unitaire

21h30 : Projet pour des services publics modernes et démocratisés

Gilles Marinet, secrétaire du secteur fédéral C.G.T. SNCF de Tours Alain Abelhauser, professeur d'université, vice président Cevu Rennes 2, signataire de l'Appel des Appels Jean-Michel Drevon - Gauche Unitaire Marie-George Buffet – Parti communiste français Michel Vauzelle - Parti socialiste Jacques Généreux - Parti de Gauche Pierre Kerdraon - République et socialisme Michelle Ernis - Gauche unitaire

« Climat : Est-il déjà trop tard ? les Enjeux de Copenhague » à Paris

18h00 : Quelle politique énergétique pour répondre aux besoins de l'humanité ?

François Cosserat, Mouvement national de lutte pour l'environnement (MNLE) Christian N'go, chercheur au Commissariat à l'énergie atomique (CEA) Denis Beaupin et Renaud Martin - Les Verts Hervé Bramy – Parti communiste français Martine Billard - Parti de Gauche

19h30 : Quelle intervention de la gauche française et européenne au sommet de Copenhague et ses suites ?

Maxime Combes - ATTAC Pierre Boisson, spécialiste des questions énergétiques Paul Sindic, ancien administrateur d'Elf Aquitaine, spécialiste des questions d'énergie Hervé Bramy – Parti communiste français Martine Billard - Parti de Gauche

Paris, le 14 octobre 2009.